Par philkikou - 12-03-2015 20:56:26 - 4 commentaires
Pas d'hibernation cet hiver côté sport avec déjà plus de 1200kms au compteur pour Janvier et Février, mais avoir les premiers signes que le Printemps pointe le bout de son nez donne un coup de fouet côté énergie !!! Bon, l'Hiver n'a pas encore capitulé et dit son dernier mot, mais qu'importe, place aux primevères**** et v'là la der de l'hiver !!!
N’attendez pas de moi que je vais vous donner
Des raisons contre Dieu que je vois rayonner ;
La nuit meurt, l’hiver fuit ; maintenant la lumière,
Dans les champs, dans les bois, est partout la première.
Je suis par le printemps vaguement attendri.
Avril est un enfant, frêle, charmant, fleuri ;
Je sens devant l’enfance et devant le zéphyre
Je ne sais quel besoin de pleurer et de rire ;
Mai complète ma joie et s’ajoute à mes pleurs.
Jeanne, George, accourez, puisque voilà des fleurs.
Accourez, la forêt chante, l’azur se dore,
Vous n’avez pas le droit d’être absents de l’aurore.
Je suis un vieux songeur et j’ai besoin de vous,
Venez, je veux aimer, être juste, être doux,
Croire, remercier confusément les choses,
Vivre sans reprocher les épines aux roses,
Être enfin un bonhomme acceptant le bon Dieu.
Ô printemps ! bois sacrés ! ciel profondément bleu !
On sent un souffle d’air vivant qui vous pénètre,
Et l’ouverture au loin d’une blanche fenêtre ;
On mêle sa pensée au clair-obscur des eaux ;
On a le doux bonheur d’être avec les oiseaux
Et de voir, sous l’abri des branches printanières,
Ces messieurs faire avec ces dames des manières.
26 juin 1878
Victor Hugo
Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire !
Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire,
Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis !
Les peupliers, au bord des fleuves endormis,
Se courbent mollement comme de grandes palmes ;
L’oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ;
Il semble que tout rit, et que les arbres verts
Sont joyeux d’être ensemble et se disent des vers.
Le jour naît couronné d’une aube fraîche et tendre ;
Le soir est plein d’amour ; la nuit, on croit entendre,
A travers l’ombre immense et sous le ciel béni,
Quelque chose d’heureux chanter dans l’infini.
Victor Hugo, Toute la lyre
( http://www.poetica.fr/poeme-601/victor-hugo-printemps/ )
****La Primevère commune, Primevère acaule ou Primevère sans tige (Primula vulgaris) est une plante herbacée pérenne de la famille des Primulacées des régions tempérées de l'hémisphère nord.
Elle fleurit au début du printemps (février-avril) sur les talus et dans les prés. Si elle est inscrite sur la liste des espèces végétales protégées en Lorraine on la rencontre abondamment dans l'Ouest de la France, où elle supplante localement les Primevères officinales (Primula veris). Elle se distingue de cette espèce par des fleurs jaune pâle, à pétales étalés et dont les pédoncules partent tous directement de la base de la plante. Dans les zones où ces deux espèces cohabitent on peut en rencontrer des hybrides.
C'est d'ailleurs une des parentes de la primevère cultivée avec la primevère élevée (Primula eliator), la primevère officinale (Primula veris) et Primula juliae. ( wikipédia )
***Printemps ou premier temps
Le printemps s'écrivait au XIIIe siècle printans, mot composé de prins et tans, du latin primus tempus : c'est le premier temps, c'est à dire la première saison. On trouve aussi l'expression tens prin. Le mot prin désigne le début, le commencement :
el prin d'esté, c'est le début de l'été
Le latin primus se retrouve dans le qualificatif prime, employé dans certaines expressions comme la prime jeunesse. Ces mots latins se retrouvent dans l'expression anglaise prime-time que le monde français de la téloche, qui singe tout ce qui vient d'outre-Atlantique, a repris pour désigner une émission de début de soirée.
De la même origine, printanier désigne ce qui concerne le printemps.
Le printemps a remplacé l'ancien français primevere (variante premevaire, primevoire). Ce mot vient de la forme latine tardive prima vera, construite d'après la locution primo vere : au début du printemps. L'italien, l'espagnol et le portugais ont conservé cette origine pour désigner le printemps : primavera.
En français, on a conservé ce mot pour désigner la fleur de primevoire, parce qu'elle fleurit au début du printemps. Elle porte aujourd'hui le nom de primevère. Ne peut on trouver plus beau symbole pour fêter le début du printemps ?
Le nom latin (botanique) de cette fleur est primula. C'est aussi le terme utilisé en italien, en espagnol (prímula).
Le latin utilisait ver (veris au génitif), d'où l'adjectif vernalis : printanier qui a donné en français vernal. Ce terme s'emploie surtout dans le domaine de l'astronomie : le point vernal, c'est l'équinoxe de printemps.
ver sacrum, c'est la consécration du printemps.
****Printemps & hirondelle
Une hirondelle ne fait pas le printemps. Il n'y a pas de conséquence à tirer d'un seul exemple : il ne suffit pas de constater un élément significatif pour qu'on puisse en tirer une conclusion générale.
C'est le proverbe le plus célèbre quand on évoque le printemps. La primevère et l'hirondelle sont les deux symboles du printemps.
Les hirondelles migrent en Afrique en septembre-octobre et reviennent en mars-avril.
Voici deux dictons concernant l'hirondelle :
L'hirondelle aux champs,
amène joie et printemps.
Hirondelle volant haut,
le temps sera beau,
hirondelle volant bas,
bientôt il pleuvra.
Très souvent, les dictons populaires ne correspondent pas à une réalité scientifique. Mais celui-ci est juste ! Pourquoi ? tout simplement parce que les hirondelles se nourissent d'insectes et ce sont les insectes qui volent haut quand le temps est beau et volent bas quand il va pleuvoir.
( source : http://www.lexilogos.com/calendrier_printemps.htm )
en ce samedi matin, 7h. et demi, j'ai des frissons, et ça pince monseigneur !! Zéro degré et gelée blanche, pas le moment de partir la fleur au fusil, ou plutôt la primevère au vélo pour faire moins guerrier.
Idée de parcours : aller tutoyer les sommets du Pilat pour voir si l'hiver est encore là !!!
*Je pense que la lune a rendez-vous avec le soleil...L'une va se coucher, l'autre va se lever...
*Vanosc dans son écrin de verdure
*un drôle d'écureuil
*voyage à travers le temps avec ce car...
*...et le musée du car****, qui s'est déplacé sous le village
****VANOSC, petit village ardéchois accroché aux premiers contreforts du Massif Central, vous accueille dans son Musée pour vous conter l'incroyable histoire de Joseph BESSET.
****Né dans ce village en 1890, Joseph Besset va d'abord apprendre le métier de charron, ici, à Vanosc chez le père Landy.
Son désir d'entreprendre le conduira en 1920 à carrosser de superbes automobiles sur les châssis des plus prestigieux constructeurs : Rolland Pilain, Talbot, Voisin, Delahaye, Berliet, Rochet Schneider, Bugatti…
Dans les années 30, il se lance dans la carrosserie de car, sur des châssis de différentes marques. En 1937 il part au Etats-Unis pour acheter la licence "Gar Wood" et en 1938 il lance sur les routes, le fameux ISOBLOC, autocar à structure autoportante et moteur arrière, cette technique, que ce fils de paysan ardéchois a industrialisé, est révolutionnaire… Au 21ème siècle les cars sont encore fabriqués selon ce principe !
Le petit atelier de Carrosserie qu'il construit prés d'Annonay en 1925, va devenir au fil du temps la SACA, SAVIEM, Renault V.I., et enfin de nos jours : Irisbus IVECO… Joseph Besset aura fait d'Annonay une des capitales européennes de construction de cars. ( http://www.lavanaude.org/page1.htm )
*Burdignes à 900m. D'altitude : beau balcon avec vue sur....
..les 3 Becs ....
...au Mont-Blanc..
...en passant par le Pilat : Crêts Perdrix, Bote, Oeillon, les 3 Dents !!!
*St Sauveur en Rue
*Bouleau collection fin d'hiver, début printemps.
*Massif des Ecrins version contemplative,....
…..et version nominative (table d'orientation de Lalouvesc prise en photo lors d'une sortie automnale)
*Au Col de la République encore l'hiver, et du ski de fond...de printemps.
*L'hiver tire sa révérence, mais na pas dit son dernier mot...
*La Versanne : variante de la RN82 une belle route en balcon pour rejoindre Thélis la Combe....
( A signaler la belle route au-dessus de La Versanne dans une hêtraie, pas pris par peur qu'elle soit enneigée)
..et Graix, après un passage à Thélis La Combe
*Retour à la case Vallée du Rhône : la chapelle Saint-Barula de Saint-Bosc***
****Sur la route d’Andance à Sarras, près du hameau de Saint-Bosc, se dresse une petite chapelle. La pancarte indique une chapelle du Ve siècle, mais la bâtisse semble plus conforme avec l’architecture du XIe.
Elle fut remaniée au XIXe siècle : le chœur, appareillé en petits moellons romans, fut entièrement remonté. Elle fut restaurée encore une fois au début du XXIe.
Perdue au milieu des vignes et des vergers avec son petit clocher-mur, elle est dédiée à saint Barula.
Barula (ou Barral, Barallah, Boral, Bot) fut martyrisé en 303 à Antioche, lors des persécutions de Dioclétien contre les chrétiens. Ce garçon de 7 ans fut pris au hasard dans la foule qui assistait au jugement de saint Romain. Il confirma qu’il n’y avait qu’un seul dieu, et pour cela fut décapité. Romain et Barula sont fêtés le 18 novembre. C’est la déformation de Barula en Bôt puis Bosc qui donna son nom au hameau.
Cette chapelle fut l’objet d’un très vieux pèlerinage. Des fouilles au XIXe siècle permirent de retrouver les vestiges d’un site gallo-romain à cet endroit. Il me semble d’ailleurs renifler un édifice plus ancien près du mur sud de la chapelle, un sanctuaire probablement.
Chaque année au 1er mai, lors de la fête de saint Joseph travailleur (instaurée d’après le sanctoral post Vatican II, en 1969), la vierge noire d’Andance est transportée dans la chapelle, en remerciement. C’est en effet un habitant de Saint-Bosc qui sauva la statue de la tourmente révolutionnaire.
Source : http://lieuxsacres.canalblog.com/archives/2012/04/22/24079648.html
*Côtes du Rhône : que ce soit à vélo, dans les vignes ou dans le verre, elles ont de la cuisse, une bonne mise en bouche
(Avoir de la) Cuisse (qualité) : expression tombée en désuétude qui désigne un vin ayant à la fois de la consistance et de la nervosité.
Jambes (ou larmes ou cuisse): traces transparentes qui se forment sur les parois intérieures d’un verre. Elles glissent à la manière de larmes après qu’on eut fait tourner le vin dans son verre. Elles peuvent êtres épaisses, fines, grasses. Les jambes ou larmes reflètent la teneur en glycérol (gras) et en alcool (éthanol) du vin. Plus les larmes sont abondantes et s’écoulent lentement, plus la teneur en alcool et surtout en glycérol est importante. Le glycérol qui se présente sous la forme d’un liquide visqueux et incolore s’accroche aux parois du verre et retombe après les autres composants. Cette onctuosité est un indicateur de maturité des raisins.
Autre explication ! Cette formation de larme est la résultante d’une différence dans la vitesse d’évaporation de l’eau et de l’alcool qui se manifeste sur les parois du verre en couche mince.
L’expression « faire jambe de vin » signifie boire avec excès.
( source : http://www.dico-du-vin.com )
*Les Côtes du Rhône au-dessus de Sarras : vu sur Revirand, le Rhône, Laveyron, la Tour d'Albon
*Les gorges de l'Ay surplombé par une croix, des vignes et le Pilat à l'horizon
Annonay- Vanosc- Burdignes- St Sauveur- La Versanne- Thélis- Colombier- St Julien- COL du Fayet- Davézieux- Andance- Sarras- Champialet- St Jeure- COL du Juvenet- Satillieu- St Alban- Annonay par PhilKiKou |
|||||
Date |
7/3/2015 |
|
|
Distance |
150 kms |
Lieu |
Davézieux |
|
|
Dénivelé |
2342 m D+ / - D- |
Sport |
Cyclisme |
|
|
Durée |
07h15'00'' |
|
|
|
|
|
|
|
Moyenne |
20.68 km/h |
|||
Commentaire public |
|||||
-St sauveur 1h50/36 *Davézieux 4h02/86 *Sarras 4h27-99 *St Jeure 5h19/113 *Col Juvenet 5h52/120.5 *Satillieu 6h11/130.5 |
La Drôme des Collines : Un bon et beau terrain de jeu en Hiver
Par philkikou - 06-03-2015 16:47:03 - 5 commentaires
La Drôme des Collines : ça vole pas très haut en altitude, mais de bonnes côtes voire raidars
Automne-Hiver 2014-2015 : je n'ai pas mis les pieds ni les roues de l'autre côté du Rhône... Je profite de la dernière sortie du mois de Février pour combler cet oubli. Je traverserai peut-être à nouveau le Rhône le Dimanche 22 Mars pour la Corima http://www.corimadromeprovencale.com/ ou le samedi 28 Mars à Crest pour la Randonnée du Pas de Lauzun http://www.usc-cyclo.org/sorties.htm .
Ce jour de fin Février, beau temps, vent du Nord pas trop fort.
Objectif : trouver un circuit « Est-Ouest » et aller découvrir la Chapelle St Ange du Côté de Peyrins et Romans.
Drôme des collines par PhilKiKou |
|||||
Date |
28/2/2015 |
|
|
Distance |
147.78 kms |
Lieu |
Davézieux |
|
|
Dénivelé |
2082 m D+ / 2082 m D- |
Sport |
Cyclisme |
|
|
Durée |
07h15'17'' |
|
|
|
|
|
|
|
Moyenne |
20.37 km/h |
|||
Commentaire public |
|||||
*Andance- Routes des crêtes- Hauterives 1h34/34- St Christophe et le Laris- Crépol - St Laurent d'Onay- St Michel sur Savasse- Geyssans- Chapelle St Ange- Peyrins 3h46/76 - Chapelle St Ange- Reculais- Arthemonay- Margès- Tersanne- Chateauneuf 5h25/109 - Galaure- St Vallier- Sarras- 6h09/127 Vallée de la Cance *45' de pauses diverses (photos, café, carte,moutons,...) |
* Rapide plongée dans la vallée du Rhône par les Barges pour arriver à Andance : son église, son nom, ses Trois Croix
Sur le pont d'Andance** on y danse...et on y passe pour aller rouler dans la Drôme des Collines
***HISTORIQUE
À Andance, le franchissement du Rhône était depuis le 12e siècle assuré par un bac puis une traille.
Le projet d'un ouvrage fixe émerge à la fin des années 1820.
Le 20 juin 1827, une ordonnance royale approuve l´adjudication de la construction d´un pont suspendu sur le Rhône à Andance passée le 16 mars 1827 par le préfet du département de la Drôme aux sieurs de Bernon et Desblains (annexe n° 1).
Ces derniers, ingénieurs et conducteurs des Ponts et Chaussées, sont autorisés à établir, moyennant la concession d´un péage durant trente-neuf ans, le pont suspendu qu'ils ont présenté en projet.
Bien qu'il n'en soit fait aucune mention dans les archives, la pancarte scellée sur l'arche monumentale formant tête de pont en rive droite indique que le pont a été édifié par Marc Seguin.
Cette information est relayée sur le site internet Art et histoire : on trouve que le pont a été conçu par l'architecte tournonais et l'ingénieur Armand Thévenet et bénéficia d'une suspension vendue par les Seguin. Parmi les entrepreneurs qui ont participé à la construction de l'ouvrage sont cités : la Compagnie Jules Seguin (frère de Marc Seguin), la société Mignot frères d'Annonay et Bruno Plagniol de Chomérac, ingénieur des Ponts et Chaussées du département (site Art et histoire).
Le 30 août 1944, l'ouvrage est miné par l'armée allemande, afin de protéger sa retraite (BREYSSE, p. 103 ; base CNR/Oasis ; notice Structurae ; site Art et histoire).
Au début de l'année suivante, un document fait état de la destruction de la travée de la rive droite par la rupture des huit câbles porteurs ; l´entreprise Baudin de Châteauneuf-sur-Loire travaille à son relèvement, mais rien n'est encore engagé (AD Ardèche, 1109W 258).
L´ouvrage devra être reconstruit sur le même type, toutefois le tablier sera rehaussé de manière à réserver à la navigation le gabarit de 7 sur 60 m, prévu par une instruction du 21 janvier 1942 (AD Rhône, 3959W 1774 : Dossier sur la Reconstruction).
En février 1945, l´ingénieur propose de rétablir le passage d´Andance à l´emplacement du pont détruit en réutilisant les anciennes maçonneries (AD Rhône, 3959W 1774).
En attendant la reconstruction, le franchissement de fleuve se faisait par barques (ce qui est confirmé dans BREYSSE, p. 103). Puis une passerelle en bois est ouverte au début du mois de décembre 1945, afin d'assurer la liaison entre les deux rives.
L'ancien ouvrage est finalement resté ; restauré vers 1985 (BREYSSE, p. 103), le pont suspendu d'Andance est aujourd'hui le plus ancien ouvrage de type suspendu en fils de fer encore en service
http://patrimoine.rhonealpes.fr/dossier/pont-routier-d-andance/51b6ed11-9b4e-4425-999d-e2e86c74f33e
*La Tour d'Albon de l'autre côté de la vallée du Bancel
*1° raidar après le golf et l'autoroute pour rejoindre....
*...la route des crêtes et ses éoliennes.
*Belle vue sur le Pilat et ses crêts vu des crêtes drômoises.
*Routes des crêtes entre Valloire et Galaure agréable, déserte.
*Sculpture naturel réhaussé des nuages qui semblent être le prolongement des branches.
*1° Côte à la sortie d'Hauterives. Pas facile de s'orienter sur ces petites routes.
*Chapelles de part et d'autre de la route à St Christophe et le Laris
*Pour rejoindre Crépol nouvelle bosse de St Véroux mais loupé la chapelle St Roch
*Crépol, sa nouvelle église....
*...et son ancienne avec 2 gardes peupliers
*Après avoir suivi l'Herbasse, droit dans la pente, c'est la voie céleste...
*...pour rejoindre St Laurent d'Onay
*Au pied de mon arbre je vivais heureux, disait l'héllobore.
*Si je vous dis que la Drôme des Collines c'est chouette, vous me croyez maintenant ?
*Le Pré de cinq sous ... la neige***
***Pourquoi cinq sous ? La légende raconte qu’il pourrait s’agir du montant de la location du pré… A voir, à voir… Enfin, si en grimpant jusque là-haut, vous trouvez la réponse, n’hésitez pas à la partager avec nous ici !!!!
*St Michel sur Savasse ..et sur l'église
*Après Geyssans, je suis allé tutoyer les anges à leur Chapelle tout là-haut
*du Royans et les Coulmes juqu'à La Grand'Dent et les 3 Becs
*Gros plan dur la Grand'Dent
*Est-il gué de dire que morte la vieille a pris la route de Saint Ange ???
*2° montée à St Ange à partir de Peyrins et Chalon
*Comment avancer sans reculais pour arriver à ce village ?
*Vol au-dessus d'un champ de noyers avec les corneilles.
*Arthemonay à l'horizon.
*Arthemonay après un passage dans ce village et avant de croiser les cyclistes de Sarras
*Passage à proximité de Montchenu
*Trou de souris ? Creusé dans la marne sert de garage, abri...
*Tersanne avant de rejoindre la Vallée de la Galaure
*CHAPELLE DU COUVENT DES CORDELIERS A CHARRIERE
*Et l'entrée de la Chapelle ***
Ensemble conventuel franciscain dont la chapelle gothique du XVe siècle conserve des peintures murales des XVe et XVIIe siècles. Elle fut construite à l'emplacement d'une église romane et fortifiée servie par les prieurs bénédictins de Manthes (26210) les restes de cet ancien édifice sont essentiellement constitués d'une porte romane fortifiée.
Situé dans un écrin de verdure dominant la Galaure ce monastère conserve en plus quelques éléments essentiels de la vie monastique : la cuisine avec sa cheminée monumentale, le réfectoire avec des peintures murales du 16e, le cloître (promenoir détruit), porterie, lavabo et une …"traboule" traverse ce couvent d'est en ouest.
A la fin du siècle dernier ces bâtiments étaient en ruine, le sauvetage de ce site entrepris depuis 1999 par la municipalité avec le concours actif de l'association Patrimoine Castelneuvois a permis de remettre un toit, de fermer la chapelle, d'étudier et de comprendre l'histoire de ce lieu et en plus de lui donner un cadre digne, fleuri au bord de la rivière.
Ce sauvetage est tout à fait exemplaire par sa qualité, par la ténacité et la qualité des intervenants, par les complicités des différents intéressés et professionnels et aussi par les aléas et autres hasards qui toujours ont apporté le petit coup de pouce indispensable.
Le visiteur se laissera guider, il découvrira le site mais aussi le cadre, l'histoire et sera certainement sensible à la sérénité et au charme qui s'en dégage malgré le poids de son passé riche et rude.
http://www.journeesdupatrimoine.culture.fr/lieu/couvent-des-cordeliers-de-charrire
*Retour côté Ardèche dans la Vallée de la Cance, avec le sentier du Beurre souvent emprunté à pied et qui passe par le petit col à gauche.
*Pont après Silon et avant Assuis
*Pas l'ombre d'un doute, ce fut une bonne sortie.
*Plein les pattes et envie d'admirer ce ciel moutonneux : 2 raisons de faire une pause !!!
*Compter les moutons : une bonne façon de recharger mes batteries !
*La lune joue à cache-cache ou à saute-moutons avec les nuages
*Photo panoramique au résultat particulier
*Photo panoramique version verticale
*A proximité de la Roche Péréandre des rochers en ombre chinoise